Englument solidaire

Engluement solidaire démocratique

Depuis la révolution française, suivie de la révolution industrielle, puis communiste puis informatique, les nations se sont engluées dans leurs faux concepts, puis dans leurs fausses pratiques et finalement dans des pratiques criminelles généralisées.

Cela est pire qu’un engourdissement dans trop de facilités, c’est un état dont on ne peut plus sortir!

Les peuples et leurs dirigeants se sont engagés dans un labyrinthe creusé dans la matérialité, où maintenant ils sont piégés par le non-retour. Nul programme, d’où qu’il vienne, ne peut qu’échouer, nul ne peut rétablir l’ordre naturel des choses.

On ne peut plus équilibrer les comptes, parce qu’ils sont englués ensemble.

Les peuples démocratiques ont vendu leur pouvoir spirituel pour acquérir un «pouvoir d’achat».  Les dirigeants ne peuvent ni supprimer ni amenuiser ce pouvoir qui épuise les ressources sans provoquer une guerre civile. Les peuples sont donc devenus ingouvernables et sombrent dans le chaos.

Dans le labyrinthe des fausses solutions gouvernementales, il y a, malgré tout, un fil de lumière, le fil «d’Ariane» permettant aux humains individuellement d’en sortir, non par l’extérieur, mais par l’intérieur d’eux-mêmes.

Retrouver sa liberté responsabilité spirituelle, telle est l’issue.

Or la Terre, elle seule dans l’harmonie avec ses lois naturelles, peut accorder à l’humain son autonomie source de sa liberté d’esprit. C’est de ses mains que l’homme est appelé à recréer ses propres valeurs, qui, ici bas, sont des valeurs d’usage. Cela au travers des ressources données par la Terre Mère, aidé en cela par des outils maîtrisables et des échanges principalement de proximité, créant liens humains et entraide mutuelle.

Dans les Lois de l’Univers qui structurent toutes choses, chaque système organique (dont l’être humain) est à la fois autonome et interdépendant; un mouvement circulaire lie toutes choses et conduit à un changement évolutif constant. Le mouvement circulaire a été brisé par l’artificialisation de la vie moderne occidentale.

La solution, la seule à mon avis, sera imposée par les nécessités ou bien sera librement consentie individuellement par des esprits éclairés d’intuition. Il s’en trouve déjà un peu partout qui s’engagent autrement, dans une volonté de transition vers ce qui leur est apparu comme non seulement raisonnable, mais aussi source de vie véritable.

Jamais cela ne viendra à nous par des programmes politiques démocratiques. Les masses populaires ne peuvent se gouverner, c’est à dire, aujourd’hui,  s’autolimiter ni être gouvernées «démocratiquement» vers la juste limitation des appétits,  qui, aujourd’hui, impérieusement, s’impose!


Soldanelle