Fukushima & OVNI

 

ACTIVITÉ OVNI HORS NORME SUR FUKUSHIMA


Nous observons à Fukushima un double phénomène ufologique, les Astra TR-3B et d’autres engins antigravitiques qui sont issus des forces du Nouvel Ordre Mondial. Ils tentent d’arrêter l’intervention d’une mystérieuse  exo-civilisation réparant les plus gros dégâts. Mais ils ne peuvent qu’observer impuissants, ne disposant pas du pouvoir de bloquer de telles exo-interventions. Il y a bien en fait une ingérence dans notre évolution mais elle  ne s’effectue cependant qu’au niveau des risques majeurs. Les stratégies et technologies employées par ces bienfaiteurs inconnus dépassent de loin tout ce que les tigres de papier du Nouvel Ordre Mondial ont réussi à mettre  en œuvre en un siècle avec leurs «exo-sbires». Une intelligence inconnue mue par une sagesse cosmo-ancestrale semble surveiller et contrôler notre système solaire. Cette bienveillance venue des cieux, ne devrions nous pas l’appeler: Providence?

Fukushima est, sans nul doute, le plus grand accident nucléaire de la planète, condamnant théoriquement l’ensemble du Japon et mettant en péril la vie à différents degrés dans l’hémisphère Nord. On estimait la nocivité  de cette catastrophe nucléaire à plus de 30 fois celle de Tchernobyl. Jamais autant de combustible nucléaire, (uranium, plutonium, mox) ne s’était retrouvé hors de contrôle, à l’air libre.

Nous avions évoqué le phénomène transmutatoire survenu à l’intérieur du réacteur de Tchernobyl. Plus de 10 tonnes d’aluminium ont été retrouvés, et 90% du combustible nucléaire ont disparu. Ces révélations viennent du Professeur George Lochak, Président de la Fondation Louis de Broglie à Paris, qui tenta de trouver une explication rationnelle à ce phénomène en Ukraine.

Nous savons, en physique, que la transmutation de l’uranium en aluminium est possible. Saurions-nous maîtriser ce phénomène Nous en doutons, sinon des systèmes transmutatoires de sécurité équiperaient toutes les centrales nucléaires terrestres. Sans explication rationnelle viable et suite à l’intervention photographiée, voire filmée, d’ovni sur Tchernobyl, nous maintenons l’idée que ce phénomène transmutatoire inédit a été  lié à l’intervention d’une exotechnologie. Par cette intervention, la pollution mortelle de l’accident nucléaire de Tchernobyl a été de fait contenue et divisée au minimum par 10. Cela nous donne une idée de ce  qu’aurait été l’ampleur des dégâts si aucune transmutation du combustible nucléaire n’avait eu lieu.
Sachant cela et au vu des tonnes de combustible nucléaire en jeu au Japon, Fukushima aurait du être 300 fois plus mortel que Tchernobyl.

Sur la revue Sortir du Nucléaire n°53, il est mentionné que Fukushima aurait émis 10 fois moins de Césium 137 que Tchernobyl et 100 fois moins de Strontium 90. Le rejet d’Iode 131 à Fukushima aurait aussi été inférieur aux rejets de Tchernobyl. Etant donné les masses de combustible, le nombre de réacteurs touchés, les piscines d’uranium en jeu à Fukushima, ces chiffres  ne sont pas compréhensibles.

On peut difficilement remettre en cause la probité de la revue anti-nucléaire qui fournit ces chiffres. Alors, comment expliquer cela? Ce ne sont ni les dispositions stupides prises par TEPCO, ni les mesures du gouvernement  japonais qui ont pu avoir un tel impact. C’est tout autre chose qui est à l’œuvre. Nous ne sommes pas loin de la réalité en affirmant que plus de 99% des effets de Fukushima ont été contenus et continuent de l’être. Par ailleurs, l’activité ovni au dessus de Fukushima est tout bonnement extraordinaire. Tout laisse à penser que ces phénomènes ne sont pas fortuits mais qu’ils témoignent d’une intervention massive sur le  site sinistré et sa périphérie.

Même si un tiers de son territoire est durement touché par la pollution radioactive, le Japon peut être considéré comme sauvé. La force collective,  la discipline et le civisme du peuple japonais feront le reste pour redresser un pays qui était condamné.

L’affaire Fukushima est du même acabit que l’affaire BP dans le Golfe du Mexique. Une catastrophe sans doute provoquée avait engendré une faille sous marine de 100 kilomètres d’où s’échappait du pétrole  brut. Ni les USA, ni les pétroliers n’avaient les moyens de réparer de tels dégâts. Entendez-vous encore parler de cette catastrophe gravissime? Non! Pourquoi? Cette faille a été colmatée sur 100 kilomètres et le pétrole ne vient pas toucher nos côtes. Qui a pu stopper une telle catastrophe écologique condamnant l’Atlantique? Si BP prétend être à l’origine de la fin de cette catastrophe en ayant colmaté deux puits, nous vous laissons juger du sérieux d’une telle assertion.

En conclusion, nous ne pouvons que constater la pertinence de notre hypothèse «des forces dotées de sagesse et de technologies extrêmement avancées veillent sur nous».


Frédéric Morin – Morphéus n°52 juillet 2012.